DCL EASTERN CARIBBEAN 2022 2/10 – The Sunshine and AC State

Bonjour à tous et WELCOME BACK ! On me dit dans l’oreillette que mon billet d’intro a frustré certains d’entre vous qui espéraient déjà lire le premier épisode, hihihi. On ne déroge pas aux traditions ici, hein ! Mais bon je ne veux pas vous faire attendre plus longtemps, la suite est là, et pour le coup préparez-vous (même, faites vous un café) car ça risque d’être long !

Je m’étais arrêtée dans mon introduction à notre départ de la maison en Uber à 6h30 du matin, le vendredi 2 septembre. Après une assez petite nuit nous avons ainsi fourré notre barda dans le coffre de notre quasi carrosse de princesses, en route pour l’aéroport. Nous nous y étions rendues en RER pour notre précédent voyage, mais notre vol matinal ce jour-là m’a fait préférer cette option – et encore heureux que Zozo m’ait freinée dans mon élan de réservation de chambre d’hotel à Roissy (quand je vous parlais de mes coups de stress aléatoires). Arrivées assez tôt à CDG nous nous sommes rendues à un comptoir Air France pour déposer nos bagages, mais surtout nous enregistrer car l’application AF ne nous a jamais laissées le faire la veille, sans aucune raison (spoiler alert, on allait avoir le même problème sur la totalité des vols du voyage). Après avoir dit « see you real soon » à nos valises, nous avons comme le veut la tradition pris un petit déjeuner chez Starbucks.

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Arrivées à la porte d’embarquement on a commencé à se dire « ça y est, on se casse en vacances », sauf que le-dit embarquement a pris tellement de temps que nous avons finalement décollé avec 55 minutes de retard. Notre escale à Atlanta étant de deux heures et quart j’aurais pu commencer à baliser sévère, mais pendant 8h de vol ça aurait été un peu dur pour les nerfs donc j’ai décidé de ne pas y penser, et plutôt profiter des films au programme et DU CHAMPAGNE. J’ai bien sûr demandé un verre de jus d’orange en plus de ma coupette afin de me préparer un petit mimosa tranquillou. Nous avons trinqué avec nos bulles dans leurs coupes en plastique en regardant notre gros coucou s’envoler dans les airs, puis avons chacune enfoncé un casque audio sur notre chef avant de faire notre première sélection de visionnage.

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Mon choix s’est porté sur Pacific Rim: Uprising, suite du premier du nom dont j’étais super fan à sa sortie, mais pour une raison que j’ignore je n’avais jamais eu l’occasion de découvrir le second film. Bien que la présence de John Boyega au casting ainsi que le retour d’une partie de l’équipe originale soient un vrai plaisir, l’histoire un peu bancale et le twist bien claqué au sol m’ont fait me dire que le premier opus se suffit à lui-même. En l’absence de sous-titres anglais ou français je me suis résolue à le regarder en VF, ce qui a sans doute contribué à ce visionnage très « meh ». Quant à Zouzou elle a jeté son dévolu sur le film En Bonne Compagnie avec son acteur chouchou Dennis Quaid.

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On nous a ensuite apporté à manger et le plateau n’étant pas très photogénique j’ai fait l’impasse sur sa photo. Je ne me rappelle plus vraiment ce qu’il y avait au menu, mais il me semble qu’on a eu du Parmentier de canard. Après le repas Zozo a regardé les films Marry Me et The Danish Girl (je ne l’ai jamais vu mais à chaque fois que je regardais vers son écran j’avais presque les larmes aux yeux tellement ça a l’air émouvant), tandis que je découvrais pour ma part The Northman, avec vingt minutes de retard sur mon voisin de la rangée centrale. Il m’a donc fallu éviter à tout prix de lorgner vers son écran pour ne pas me faire spoiler. Après un petit goûter nous avons finalement amorcé l’atterrissage.

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C’est ainsi que nous avons mis les pieds pour la première fois dans l’état de Géorgie, mais pour un très court passage puisque notre escale à l’aéroport d’Atlanta ne devait durer que deux heures et des poussières, comme je disais tout à l’heure. Par chance le retard pris par l’avion au décollage a été totalement rattrapé pendant le vol, et c’est heureux car vous allez voir qu’on a à peine eu dix minutes de quartier libre pendant la connexion entre nos deux vols. La première étape de cette escale fut de récupérer nos bagages, et nous connecter au wifi pour prévenir la famille que nous avions atterri. Si les valises se sont fait attendre quelques minutes, le wifi s’est lui empressé de me délivrer une nouvelle qui m’a donné un petit coup de chaud. Pour une raison que je ne m’explique toujours pas, la carte bancaire avec laquelle j’avais fait la réservation de notre hotel pour le soir-même, des mois plus tôt, avait bloqué au moment du paiement et un email de Booking m’avertissait que je devais la mettre à jour dans un délai de deux heures sans quoi la réservation serait annulée sur le champ. OHMYGAWD. Par coup de bol incroyable, le dit email avait été envoyé… quatre minutes plus tôt. J’ai donc pu régler le problème en quelques secondes, tout en réalisant que si nos vols s’étaient goupillés différemment on aurait tout simplement perdu notre chambre, oops. L’étape numéro deux de notre escale consistait à déposer nos bagages pour le transfert sur le vol suivant, une formalité (mais alors vraiment) puisqu’on nous a indiqué qu’il fallait les remettre à une jeune femme qui se tenait dans un obscur recoin de couloir devant un mini tapis roulant collé au mur, et qui acheminait les bagages dans une également mini ouverture dans un mur à l’angle du premier (vous visualisez ?). Avec un brin de stress nous avons abandonné nos bagages sans plus de formalités, en serrant les fesses et espérant qu’on ne se trompait pas de procédure (je suis sûre que nombre d’entre vous sont déjà passés par Atlanta et connaissent parfaitement le truc, n’hésitez pas à vous moquer allègrement).

De nouveau libérées de nos (pas si lourdes mais encombrantes) valises, nous avons compris après quelques minutes de réflexion et d’observation comment nous rendre dans le bon terminal pour notre vol suivant, et nous y sommes arrivées par le petit métro de l’aéroport d’Atlanta. Une fois n’est pas coutume (pour le coup, si) il nous fut une fois de plus impossible de nous enregistrer sur l’appli Air France pour notre vol Atlanta-Orlando. C’est ainsi qu’au lieu de faire du lèche-vitrine pendant une demi-heure, nous avons dû traverser à deux reprises le hall reliant les portes d’embarquement jusqu’à trouver LE comptoir Delta qui ne soit pas vide et dépourvu d’employé pouvant nous aider. Lorsque nous nous sommes adressées à la femme au guichet et lui avons expliqué notre problème, elle ne s’est pas retenue de lâcher un « aaaw DAMN AIW FWANCE it’s the same mess all the time with them ». Pas du tout rassurant le machin. Mais dix minutes plus tard nous avions nos cartes d’embarquement en main, et environ dix minutes pour traîner dans le hall avant de nous présenter pour embarquer. J’avais lu que l’aéroport comptait un Shake Shack parmi ses boutiques et restaurants, mais manifestement il ne se trouve pas dans le terminal que nous avons emprunté, et de toutes façons nous n’aurions pas eu le temps de nous y arrêter. Nous nous sommes contentées de faire un petit tour chez un genre de marchand de journaux qui vendait essentiellement des bonbons et des livres ayant pour sujet « Que dirait la Bible dans telle ou telle situation ». Nous avons été tentées d’acheter des magnets rendant hommage à la Géorgie ou à Atlanta, mais comme notre visite s’est résumée à un terminal et demi de l’aéroport nous y avons renoncé.

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Je dois préciser que nous avons eu la surprise et l’émerveillement (ok, on a bien rigolé aussi) de découvrir que le hall d’embarquement était décoré avec un soin qui défie la raison, dans le thème bien sûr du drapeau américain. On a vraiment senti qu’on était accueillies comme des reines (comme de bonnes grosses touristes) TO THE LAND OF THE FREE ! Dans la file pour embarquer, nous avons profité de nos derniers instants de wifi pour échanger des âneries sur Messenger avec les copains, quand Bourdon nous a envoyé la plus perturbante des images : une photo de nous de dos, à cet exact instant. Nous nous sommes retournées prises de stupeur avant de comprendre : trois de ses potes étaient juste derrière nous dans la file, s’apprêtant à prendre le même vol que nous pour Orlando. On a rigolé et avons papoté avec eux jusqu’à ce que l’ont monte à bord. Puis on a cessé de rigoler quand on a découvert que Zouzou et moi avions des places l’une derrière l’autre, et non à côté. Dans nos petits souliers, nous n’avons pas osé demander directement à la dame assise à côté de ma place si elle voulait bien changer de siège avec Zozo, vu qu’elle n’avait vraiment pas l’air commode. Mais un membre du personnel Delta assez jeune et sympathique, ayant compris notre embarras, s’est chargé de transmettre pour nous le message… qui fut accueilli par force grognements et regards agacés, mais la passagère a finalement accepté de se déplacer. Nous avons passé le vol à regarder un épisode de Gossip Girl téléchargé sur l’app Netflix de Zouzou (le premier d’une longue série – pour faire suite à F.R.I.E.N.D.S. qui a fidèlement accompagné nos voyages précédents), jusqu’à ce que l’on amorce la descente et commence à apercevoir nos premiers paysages floridiens par le hublot. Notre excitation était alors à son comble, nous nous rapprochions à chaque instant plus encore du but du voyage. Seules la validation de nos certificats de tests COVID par Safe Passage et une nuit d’hotel nous séparaient encore de nos premiers pas sur le Disney Fantasy.

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Au moment de nous lever pour descendre de l’avion, la dame pas sympa à qui on a fait changer de place a vivement ouvert le compartiment à bagages en braillant « watch your head » mais clairement on sentait qu’elle aurait accepté comme compensation au désagrément subi que l’une de nous s’assomme pendant qu’elle en sortait sa valise. Mais le plus important était que NOUS ÉTIONS ENFIN EN FLORIDE ! Hello MCO ! Quelle sensation étrange que de se trouver pour la première fois dans cet aéroport que j’avais si souvent vu en photo dans des Trip Reports ou des vlogs ! Pour la seconde fois de la journée nous sommes allées attendre nos bagages au carousel correspondant à notre vol, après avoir retrouvé les copains de Bourdon. Nous avons soufflé de soulagement en voyant nos valises arriver, et après avoir échangé quelques mots avec nos camarades de vol en route pour Walt Disney World, nous avons pris les escalators pour rejoindre le centre du Terminal.

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En effet nous voulions visiter un peu l’aéroport pour rigoler, et nous poser avant de commander un Uber pour nous rendre à l’hotel. Surtout, nous avions dans le viseur les boutiques Universal Studios et Disney de MCO pour notre première séance shopping du séjour. Mais avant de vous parler de la boutique Universal, je dois vous raconter une petite anecdote. Depuis quelques jours je faisais une fixette sur une peluche de petit blaireau portant une écharpe aux couleurs de la maison Poufsouffle, qui fait partie d’une collection de peluches (comportant un lion pour Gryffondor, un corbeau pour Serdaigle, et un serpent pour Serpentard évidemment) vendues à Universal Studios. N’allant pas à Universal cette fois-ci, je m’étais dit que je l’achèterais sur place lors d’une future visite. Aussi quelle ne fut pas ma joie quand au détour d’un présentoir dans la boutique de l’aéroport je me trouvais nez à museau avec mon petit blaireau, seul représentant de sa maison au milieu de pléthore d’exemplaires des autres, le regard résolument tourné vers ma personne. Il semblait littéralement m’attendre. La joie je vous dis. Ce fut notre seul achat à la boutique Universal, on n’allait pas claquer toute notre cagnotte à l’aéroport quand même. Même si en sortant de la boutique j’ai flashé sur un carnet en peluche « Monster Book of Monsters » (vu dans Le Prisonnier d’Azkaban), mais j’ai décidé d’être raisonnable et que je le prendrais au vol retour s’il me restait des sous. Spoiler alert, j’ai éclaté la cagnotte pendant les croisières donc pas question de l’acheter avant de rentrer en France, mais j’espère bien rattraper cette erreur la prochaine fois ! Quant à la boutique Disney on n’y a pris qu’un patch brodé à l’effigie de Dingo, mais quel beau patch (photo dans le prochain épisode) ! C’était au passage une sensation étrange de se retrouver entourées de merchandising dédié à Walt Disney World tout en sachant qu’on n’allait pas y mettre les pieds du voyage.

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Il était alors à peu près 19h heure locale, et ne sachant pas ce qui nous attendait niveau food offering à l’hotel (on a négligé cette partie des devoirs avant de partir), on s’est dit « pourquoi ne pas manger ici au food court, et tester des fast foods inconnus avant de commander notre Uber ? ». Il faut dire que les fast foods et les supermarchés à l’étranger sont une de mes passions, mais j’ai rarement l’occasion de m’adonner au benchmark junk food quand on voyage à Disney.

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Nous avons fait une petite sélection dans différents stands et avons dégusté : des crevettes frites laquées au miel avec des noix de chez Panda Express, sur leur lit de nouilles sautées aux légumes (je rêve encore de ces crevettes qui étaient tout simplement délicieuses); une part de pizza pepperoni de la chaine Sbarro (que je ne connaissais pas jusqu’ici) – également absolument délicieuse, et pour le dessert un cinnamon roll classique de chez Cinnabon. Je fantasmais sur Cinnabon depuis des années, à cause de ma passion pour les competitive eaters tels que ErikTheElectric ou BeardMeatsFood (attention c’est pas le délire de tout le monde ce genre de vidéos, mais s’il y a des amateurs ici comparons nos YouTubers favoris en commentaires !) – qui me font découvrir pléthore de chaînes de fast-food anglo-saxonnes; ou encore grâce à l’extraordinaire série Better Call Saul, qui vient juste de se terminer (quelle tristesse). Malheureusement ma première expérience chez Cinnabon, si elle fut un succès sur le plan gustatif (c’était juste un bonheur pour nos papilles ce cinnamon roll si moelleux et tiède couvert de son glaçage bien généreux), fut un échec sur le plan humain puisque la jeune serveuse au comptoir m’a toisée avec un air blasé affreux pendant toute ma commande, malgré ma tentative de créer une connexion employée-cliente sympathique par le truchement d’un compliment sur la lanière Blackpink qu’elle portait autour du cou.

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Après ce succulent dîner (du glutamate et du sucre à foison c’est tout ce qu’on veut après 13h de voyage), nous avons finalement empoigné nos valises et les avons fait rouler (tout comme nos carcasses fatiguées) vers la sortie de l’aéroport pour commander notre Uber. À peine mis un pied dehors, la chaleur et la moiteur nous ont frappées de plein fouet, nous avons vraiment eu l’impression d’entrer dans un sauna. C’est drôle de faire enfin cette expérience soi-même quand on a lu et vu quantité de reports de voyages qui mentionnent à quel point le climat floridien est déstabilisant pour nous petits français habitués à des taux d’humidité tellement plus bas. Donc si vous lisez ces lignes et prévoyez de visiter la Floride prochainement pour la première fois, je confirme, ça n’est pas une légende, VOUS ALLEZ VOUS LIQUÉFIER. Vu l’étendue de MCO j’avais peur d’avoir du mal à communiquer notre emplacement au chauffeur (quelle noob je fais) mais ce fut en réalité très facile et notre chauffeur, Jean, ne s’est pas fait attendre plus de deux minutes. Nous avons passé tout le trajet jusque Cape Canaveral (près de 45 minutes quand même) à papoter de la Floride, du climat, des voyages en Europe, en bref on a passé un moment très agréable qui nous a permis de rester bien éveillées (et de ne pas sombrer sur la banquette comme des loques victimes du jet lag).

Nous avons fait notre check-in à l’hotel Hampton Inn & Suites, un des mieux notés du coin sur le site Booking. Il m’a semblé un peu petit mais très clean et confortable, dès l’entrée dans l’hotel nous avons pu constater que la plupart des clients viennent pour des croisières, pour assister à des lancements de satellites, ou visiter le Kennedy Space Center.

Fun fact, le lancement de la fusée Artemis devait avoir lieu le lendemain, soit le jour de notre embarquement sur le Fantasy, et les prévisions sur le traffic routier étaient catastrophiques. Je me suis tapé un petit coup de stress la veille de notre vol pour Orlando, craignant que l’encombrements de voitures dans la zone ne nous empêche de trouver un Uber disponible, ou nous fasse arriver très en retard au port (personne n’a envie de monter sur le bateau plus tard que le créneau sélectionné au moment du check-in, pour nous 12h15), mais spoiler alert, le lancement a finalement été repoussé un peu à la dernière minute (à l’heure où je tape ces lignes Artemis se trouve toujours sur la terre ferme), et surtout nous avons pu booker une navette partant directement de l’hotel, pour une fraction du prix d’une course en Uber.

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J’ai profité du check-in pour réclamer au groom à l’accueil de l’hotel un colis qui était arrivé pour nous la veille. En effet, cinq jours avant le départ, Zouzou et moi avions fait une commande au téléphone à la boutique américaine Hot Topic afin de nous faire livrer quelques articles (en solde sur le site) à l’hotel, histoire d’économiser les frais de port et la douane qu’on aurait dû payer si on avait fait livrer le colis chez nous. Pour une raison obscure, le site ne nous a jamais laissé valider la commande avec livraison à l’adresse de l’hotel, et nous avons été contraintes d’appeler le service client (à 21h30 tout en faisant la popote) afin de la finaliser notre achat, et ce fut un moment fort cocasse. Toujours est-il que je me suis vu remettre un colis tellement énorme que je suis incapable de vous dire comment on a réussi à acheminer nos personnes, valises, et le colis jusqu’à notre chambre en un seul voyage.

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Ledit colis en images :

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Mon petit blaireau chéri (vous avez vu, c’est l’amour fou), et un teaser du contenu du colis :

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Après notre petit room tour nous sommes sorties explorer les communs de l’hôtel et boire une petite Budweiser à la terrasse de la piscine. C’est à ce moment précis que nous avons reçu les emails du site de Safe Passage nous confirmant que nos résultats de tests étaient acceptés, et qu’on était donc CLEAR TO SAIL sur le Fantasy (sans ça on restait au port tout simplement). Avec un soulagement intense nous avons finalement regagné notre chambre pour une douche et un dodo bien mérités, nous avons tenu jusque minuit, soit près d’un tour complet de cadran après notre réveil.

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LA SUITE AU PROCHAIN ÉPISODE !

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