DCL ALASKA + DLR 2019 17/19 – I’m glad you came

A l’attention de nos aimables lecteurs : ce billet est deux en un. Il raconte nos deux journées passées à Los Angeles, aussi ne zappez pas après la première soirée !

Jour 5 : LA PREMIÈRE GRASSE MATINÉE DES VACANCES ! Et premier réveil dans la cité des anges pour Zouzou et moi ! Nous avons pris le temps d’émerger pépouze dans notre petit home sweet home immaculé, nous avions eu du bol de le trouver vu l’absence totale d’hotels rentrant dans notre budget dans la zone West Hollywood / Fairfax où Romi avait suggéré que l’on s’établisse. Nous avons grignoté un peu de popcorn pioché dans le bucket Halloween de Flavou, puis nous sommes habillés rapidement et sommes sortis faire des courses dans la meilleure chaîne de magasins que j’ai jamais vue : Trader Joe’s ! Vous devez vous dire « ces quatre petits inconscients font un séjour à LA alors qu’ils n’ont pas de véhicule ?! Mais quelle hérésie ! » Bon, vous allez voir qu’en fait on n’a eu aucun mal à faire ce qu’on avait prévu, d’abord parce que Clément a eu l’extrême bonté de nous voiturer à plusieurs reprises, ensuite car nous avions volontairement choisi un quartier pas trop éloigné de nos points d’intérêts pour ces deux jours et Uber nous a dépannés pour pas trop cher. Nous avons dû marcher une dizaine de minutes sous le soleil pour rallier Trader Joe’s, ce qui nous a permis de découvrir un peu le quartier et notamment de passer devant les studios de la chaîne CBS Television City (merci d’avoir fait le guide touristique Romi) !

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Nous étions affamés et en quête d’ingrédients pour un brunch gargantuesque, eh bien laissez-moi vous dire que Trader Joe’s a largement rempli cette mission. Nous avons été émerveillés par la variété des produits vendus par cette chaîne de supermarchés californienne sur thème des mers du sud. Découvrir des enseignes et packagings étrangers est une de mes passions en voyage. Les rayons colorés et remplis de produits très américains de Trader Joe’s m’ont presque consolée de ne pas être à Disneyland, et charger notre caddie d’un tas de provisions exotiques nous a tous mis du baume au coeur (avant d’en mettre à nos panses affamées). Et pour ne rien gâcher, Trader Joe’s propose du café GRATOS !

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En rentrant à notre petit home sweet home, nous avons vécu un petit coup de stress doublé d’un moment de solitude. Impossible d’ouvrir la porte d’entrée qui fonctionne avec un code. Nous étions enfermés dehors, fagotés comme l’as de pique, cracras, mal réveillés, et avec nos courses pour trois jours. Une petite goutte de sueur a roulé sur nos quatre tempes pendant que Flabi essayait de joindre la propriétaire sans succès. Une ultime tentative d’ouverture désespérée se solda par un clic retentissant, miracle ! Pourquoi n’avons nous pas réussi à l’ouvrir les premières fois ? Aucun souvenir to be honest. Nous étions enfin à l’intérieur mais pas au bout de nos galères comme vous allez le voir. Après avoir poussé un soupir de soulagement et rangé les courses nous nous sommes séparés en deux teams : Zouzou et Flav à la cuisine, Romi et moi à la lessive. Nous sommes partis tout guillerets vers la laverie de la résidence avec notre demi-tonne de linge, sans réaliser que nous étions quasiment dépourvus de « change ». En effet nous avions surtout des billets, mais pas de monnayeur en vue dans la lingerie. C’est ainsi que nous sommes partis comme deux tocards en pyjama arpenter les rues du pâté de maison dans l’espoir de pouvoir troquer un billet ou deux contre de la menue monnaie. Cela nous a pris pas moins de trois boutiques, nous étions samedi midi et c’était le coup de feu dans les quelques snacks hipsters du quartier. Enfin nous avons pu lancer notre lessive, et rejoindre les filles pour nous attabler devant le plus merveilleux des brunchs. Nous étions trop contents de pouvoir chiller en pyjamas pour la première fois depuis des jours, nous avons digéré pépouze devant The Princess and the Frog avant de finalement nous motiver à nous laver et revêtir apparence humaine.

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Notre liste d’activités était assez courte pour cette journée, on pouvait quasiment la résumer en une ligne : Hollywood Boulevard. La dernière touche de mascara posée nous avons commandé notre premier Uber en route pour la mythique avenue. Quelques  minutes plus tard,  nous foulions déjà de nos baskets les plaques honorant certaines de nos stars favorites – la toute première pour laquelle je me suis personnellement exclamée fut celle d’Angela Basset, mais des dizaines d’autres allaient nous faire couiner jusqu’à la fin de la soirée. Evidemment nous savions déjà qu’Hollywood Boulevard ne ressemble pas en vrai à ce qu’on peut voir dans les films, cela s’est largement confirmé pendant notre visite tant ce quartier de LA est sale / bondé / regorge d’attrape-touristes. Il n’empêche que l’avenue aux étoiles reste un incontournable pour une première visite à LA, ne serait-ce que pour pouvoir rendre hommage à l’inspecteur Columbo en foulant du pied l’étoile de son inégalable interprète Peter Falk (maman j’ai bien sûr beaucoup pensé à toi) ! Après avoir arpenté le boulevard pendant une bonne demie-heure en regardant nos pieds et manquant de peu de nous cogner dans mille passants, notre guide de choc Romitas nous emmena en balade dans le centre commercial Hollywood and Highland Center pour une séance de lèche-vitrine. Nous avons repéré un pop-up qui vendait du merchandising délirant dédié à RuPaul, malheureusement un peu cher pour notre bourse.

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Nous n’allions pas tarder à regagner le boulevard pour nous rendre dans un autre bâtiment emblématique d’Hollywood : le El Capitan Theater où nous avions réservé quelques semaines plus tôt nos billets pour une projection de Tarzan. Oui tout à fait, la version animée. En effet, ce cinéma à l’audacieux décor très bling bling accueille depuis le début des années 1990 les premières des films Disney. Ouvert en 1926 le El Capitan Theater a connu des périodes de faste notamment l’âge d’or du cinéma hollywoodien, mais également des heures plus sombres. C’est ce qui a motivé The Walt Disney Company à lui offrir un conséquent lifting dès 1987. Depuis lors, El Capitan déroule son tapis rouge aux nouveaux films de la firme mais projette aussi régulièrement ses plus grands classiques selon les saisons. En 2005, Disney a ouvert le Disney’s Soda Fountain and Studio Store à coté du cinéma El Capitan. Ce glacier qui comporte une boutique et propose des montagnes de chocolats Ghirardelli (les mêmes que ceux qui sont déposés sur les oreillers des navires Disney) est notamment connu pour ses sorties de pins limités. En bref nous avons réussi à faire de Disney le fil rouge de notre après-midi sur Hollywood Boulevard, mais êtes vous seulement étonnés ? Avant la séance de Tarzan nous avons pu profiter d’un sympathique pré-show en deux parties. La première étant un meet and greet avec la guenon Tok, la seconde un numéro de l’organiste du théâtre qui nous a régalé les oreilles avec plusieurs morceaux issus des bandes originales de films Disney. Pour la petite anecdote, Rob Richards, l’homme assis derrière l’imposant orgue, occupe son tabouret depuis un peu plus de vingt ans et fait pour ainsi dire partie des meubles. Après avoir joué plusieurs milliers de fois devant des dizaines de célébrités, il a eu droit à son propre concert l’an dernier et a,  pour l’occasion, joué certains des plus grands classiques du répertoire Disney. Avant la projection, nous avons également eu droit aux bandes-annonces de The Rise of Skywalker et Frozen 2. Regarder Tarzan dans ces conditions fut évidemment un moment extrêmement sympathique, et pour finir en beauté notre visite à El Capitan,  nous avons même partagé une coupe de glace au Disney’s Soda Fountain & Studio Store. Nous avons choisi de goûter le Crissy Field, une montagne de glaces vanille et cookie, recouverte de tous les machins que vous voyez sur la photo.

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Après avoir mangé notre dessert avant notre dîner (oui car il était un peu tard pour appeler ça un goûter), nous sommes allés nous balader dans la boutique Sanrio de l’autre côté du boulevard.

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La faim se faisait de nouveau sentir (car comme dirait Céline : « on ne change paaas ») et l’heure était venue de rayer un autre fast-food exotique de notre liste : IN-N-OUT. Bon je ne vais pas m’éterniser sur cette franchise car elle tint à peine plus ses promesses que Tim Hortons – ok j’exagère, nous avons dîné d’un burger et de frites remarquablement peu chers, mais manquant cruellement de caractère. De retour sur Hollywood Boulevard en route pour un after party très spécial (non, nous ne sommes pas retournés à la Cantina), Romi, notre guide touristique,  a commencé à nous raconter qu’on voit parfois des hélicoptères patrouiller au dessus de Los Angeles, quand Flav l’interrompit: « Euh Robi c’est pas un hélico juste au dessus de nous là ? ». Nos quatre paires de mirettes se levèrent  en direction de l’appareil volant sus-nommé, avant de se diriger de nouveau vers la chaussée où une dizaines de voitures de police venaient de faire crisser leurs pneus. Ils encerclaient un 4×4 dont ils ont fait descendre la conductrice à quatre pattes sans avoir l’air de rigoler le moins du monde. Ceci est une belle illustration de l’expression « une image vaut mieux que mille mots ». Dans notre cas nous avons même eu l’accompagnement son et lumières, mais nous avons par précaution préféré décamper qu’assister au spectacle plus longtemps. Nous étions de toute façons presque arrivés à notre destination, le 1638 N Cahuenga Blvd.

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Cette adresse mystérieuse est celle d’un bar du nom de Tramp Stamp Granny’s et si vous êtes fans de Glee vos poils vont se dresser dans votre dos. Boire un verre dans ce débit de cocktails à l’ambiance kitsch et tamisée où l’on vient écouter de la musique live était une requête de Zouzou. Pour cause, son fondateur de charme n’est autre que Darren Criss, l’acteur fétiche de Ryan Murphy, particulièrement connu pour son interprétation de Blaine dans Glee et celle d’Andrew Cunanan dans le biopic « The Assassination of Gianni Versace: American Crime Story ». Darren partage avec Adam Driver la première place sur le podium des célébrités favorites de Zouzou. Elle épouserait les deux sur le champ si c’était permis par la loi (et s’ils étaient d’accord bien sûr). Autant dire que Tramp Stamp Granny’s était écrit en capitales et surligné sur notre to-do list. BIEN ENTENDU nous savions que nous n’avions à peu près aucune chance de croiser Darren dans son bar (c’est pas comme si c’était lui qui servait les cocktails) mais nous aimions l’idée d’aller y faire un petit pèlerinage. Lorsque nous sommes arrivés au Tramp Stamp Granny’s nous avons immédiatement été charmés par les vitrines décorées avec goût et esprit. Un vigile en costume a vérifié nos passeports et nous a laissé entrer, autant dire qu’à ce moment précis la Zozo était en transe et au bord de la syncope. Le Tramp Stamp Granny’s est minuscule, il était bondé ce soir-là, mais nous avons tout de même profité de la déco vraiment très cool et de la sélection de morceaux plutôt stylée du chanteur assis au piano. Nous avons tous les quatre choisi un cocktail que nous avons dégusté debout (c’est un peu comme si on était retournés à la Cantina en fait) en chantant à l’unisson avec les autres clients pour certains déjà pas mal éméchés. Flav et moi avons sursauté en entendant les premières notes de la chanson Out There issue du Bossu de Notre-Dame, nous l’avons chantée en version française à gorge déployée en pensant très fort à Francis Lalanne que l’on embrasse au passage s’il lit ces lignes. Alors que je me trouvais dans les toilettes des dames, j’entendis par le jour dans la porte une jeune femme crier à une autre debout devant les lavabos « Machine ! Y’a Darren qui t’appelle ! ». Je ne pus m’empêcher d’avoir un sourire intérieur en pensant combien le prénom Darren est répandu aux USA. Ou peut-être que ces deux femmes faisaient partie du personnel ? Toujours est-il que je suis retournée dans la salle principale du bar où une foule en délire s’époumonait sur Let it go. Je vis Zouzou venir à ma rencontre avant de réaliser que son visage était noyé de larmes. « GROS, IL EST LÀ » me dit-elle entre deux sanglots. WHAT ? Romitas et Flajitas acquiescèrent d’un hochement du chef. On était en plein délire et pourtant tous relativement sobres. J’essayais de distinguer la tignasse et le swag de Darren en plissant mes yeux de taupe dans l’obscurité du Tramp Stamp Granny’s, quand soudain mon coeur fit un bond. OMGOMGOMG. Darren venait de passer dans mon champ de vision, pour de vrai, à quelques dizaines de centimètres de moi. J’ai failli taper sur l’épaule de mon futur beauf et lui demander s’il était partant pour un portrait de famille mais je me suis ravisée en devinant que le malabar qui le suivait à la trace était sa garde rapprochée. Qu’à cela ne tienne, Zouzou était aux anges et ne quittait pas son sourire niais mais tellement adorable. Nous avons renoncé à essayer d’aborder le maître des lieux et nous sommes conduits en adultes responsables, à savoir, nous avons phagocyté une table pendant une heure de plus sans rien consommer, juste pour le plaisir de suivre Darren du regard tout en commentant le hasard incroyable qui l’avait fait venir au bar ce soir-là. Zouzou a fait cette petite vidéo en souvenir et est repartie avec une boîte d’allumettes frappée du logo du bar que Romitas a ramassée sur le comptoir exprès pour elle. Pas mal fatigués après toutes ces émotions nous avons fini par nous décoller de la banquette et quitter les lieux non sans une pointe de tristesse (et un dernier regard langoureux jeté à la star de la soirée). À peine passée la porte, un client fort alcoolisé du bar proposa de nous prendre en photo, nous avons accepté un peu dubitatifs, et au final, ce portrait de nous quatre restera un de nos favoris du séjour.

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Nous avons commandé un Uber qui nous a ramenés prestement à notre petit AirBnB où nous avons débriefé cette soirée plutôt dingue en sirotant une bière. Il était temps d’aller au lit !

Jour 6 : Encore un réveil angelino à la cool pour nos quatre protagonistes (Romi, Flabi, Zobi et moi si vous suivez toujours), une fois est grave coutume nous avons émergé devant Netflix avant de nous mettre en cuisine pour un nouveau brunch épique. J’ai oublié de préciser que notre hôte AirBnB a équipé son logement d’une TV dotée d’une télécommande Netflix (pow pow pooow), même pas besoin de sortir du lit pour scroller sur la grille de programmes de la plateforme. Nous avons choisi de regarder le classique An American Tail (Fievel et le Nouveau Monde en français) de Don Bluth, pour un peu on en aurait pleuré tant ce film est émouvant.

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Après un petit déjeuner de champions et nous être habillés (« recouverts de linge dépareillé sur nos maillots de bain » serait plus fidèle à la réalité) nous avons de nouveau commandé un Uber pour nous rendre à SANTA MONICA (heureusement qu’on ne traduit pas car « Sainte Monique » ça fait direct moins rêver). Notre chauffeur était d’humeur bavarde et il nous a fait un petit tour d’horizon commenté du quartier en évaluant à la louche le prix de chaque maison. Nous n’avons pas osé lui dire qu’on ne prévoyait pas d’acheter dans l’immédiat, du coup il a continué son estimation jusqu’à l’arrivée. Avant d’aller à la plage,  nous avons profité des boutiques de Santa Monica, en commençant par le Disney Store qui,  il faut l’avouer, est un peu petit pour quatre grands enfants qui reviennent de Disneyland ! Nous avons poursuivi avec Urban Outfitters et Innisfree où Zouzou et Flav ont laissé quelques biftons. Enfin nous avons pris des boissons à emporter chez Starbucks (je sais que le cold brew à la crème te manque Flavou) et nous avons marché gaillardement jusqu’à la plage.

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La plage de Santa Monica est gigantesque et était bondée en ce dimanche de début septembre, nous avons tout de même trouvé un petit coin où étaler nos serviettes assorties ainsi que nos miches. Spoiler alert : l’eau était glacée aussi on ne s’est pas attardés dedans, juste assez longtemps pour spotter quelques minuscules bébé tortues qui jouaient à cache-cache dans le sable. Nous avons également profité de ce moment de détente pour écrire quelques cartes postales, notamment à nos amis les Pejat.

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Vers 16h nous avons levé nos séants et ramassé notre barda, et sommes partis à la découverte de Santa Monica Pier ! Ce paysage de fête foraine aux milliers de couleurs fut un bonheur pour nos yeux, la foule un peu moins mais qu’importe. Romitas prenait toujours autant à coeur son rôle de guide et s’est fait un devoir de nous emmener jusqu’au bout du pier afin que l’on n’en rate pas une miette.

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En fin d’après-midi,  Clément est venu nous chercher en voiture pour aller dîner chez une de ses amies. Nous avons mangé un repas fait maison tout ce qu’il y a de plus français et bu du vin en papotant dans la langue de Molière uniquement, on se serait presque crus dans une maison de famille du sud de la France sauf que nous étions à plus de 9000 kilomètres de là. Après cette soirée plus qu’agréable, nous avons regagné notre petit dortoir pour un bon dodo avant notre dernier jour de vacances. Au programme : découverte d’Universal Studios Hollywood ! Spoiler alert : on aurait mieux fait de retourner à Disneyland.

10 réflexions sur “DCL ALASKA + DLR 2019 17/19 – I’m glad you came

  1. Je suis ravie d’en découvrir un peu plus sur Los Angeles, à travers cet article (encore) merveilleusement écrit. Et alors cette chance pour Darren Criss ! Vous avez vraiment profité de votre voyage à dix mille pour cents et ça fait plaisir à découvrir à chaque fois. J’ai hâte de lire le prochain article, même si je ne suis pas totalement surprise pour Universal Studios Hollywood, vu les critiques négatives que je lis un peu partout…

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    1. Oui, je suis d’accord avec vous! Darren Criss n’était pas vraiment au programme et je sais que pour ma Zouzou ça ne pouvait être qu’un pur moment de l’apercevoir dans son bar! J’adore aussi cet acteur vraiment incroyable dans « American Crime Story »!
      🤗

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    2. Ca fait plaisir si ça se voit 🙂 Oui on a vraiment essayé de profiter de chaque minute du voyage, même si ces deux jours à LA étaient aussi destinés à se remettre de la fatigue de DLR :p !
      Bon je ne veux pas spoiler l’article à venir mais en effet USH c’est vraiment pas ma came (mais je ne me braque pas, il parait que la version de Floride est dix fois mieux !)

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      1. Pour être honnête on a quand même vraiment survolé la question :p Comme le voyage à LA était pour Zouzou et moi un « bonus » après notre croisière, le budget et le nombre de jours de congé que je pouvais prendre étaient limités 🙂 ! Flavie et Romain ont fait une exploration plus complète de la ville car ils étaient là deux jours plus tôt et sont partis deux jours plus tard que nous (vu qu’ils n’avaient pas un autre voyage avant). Si on avait pu j’aurais aimé pouvoir rester deux jours de plus histoire de découvrir un quartier emblématique ou deux, idem pour des musées, et tester de la nourriture un peu iconique de LA style un restaurant mexicain, un coréen, un autre fast food, etc :). Bon on était un peu fatiguées aussi à ce stade du voyage, donc ça sera pour une prochaine fois 🙂 🙂 !

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  2. Alors là c’est l’apothéose !! Le Trader Joe’s… Il faudrait pas que j’aille dans un tel magasin, je ferais une razzia!! Les packagings sont trop sympas, vous avez acheté un tot’ bag?🤗🤍
    Les photos sont vraiment cool, quel beau voyage de bout en bout ! Merci pour ce partage, je vous ai un peu accompagnés! Merci mes chéries pour cette incroyable aventure, je me suis régalée des textes et j’en ai pris plein les mirettes avec vos photos formidables ! Vous êtes des pros!! Merci encore! Bisous 💖❤️

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