Jour 0 : C’est parti pour un nouveau compte des jours, puisque le dernier épisode vous avait laissés marinant dans un suspense insoutenable après l’annonce de notre départ de Vancouver pour LA ! Reprenons notre récit à l’aéroport, au comptoir d’enregistrement d’American Airlines. Tremblantes d’excitation, nous nous sommes présentées telles des fleurs à la porte E86, qui devait nous conduire à bord de notre E75L en partance imminente pour l’aéroport LAX. Nous avons pris place dans un coucou intégralement peint dans le plus triste des gris, et dont la décoration extrêmement sommaire faisait penser à un appareil d’un autre temps, voire carrément à un avion factice. Fort heureusement il s’envola avec la plus grande facilité dans le ciel canadien, et nous avons enfin pu commencer à nous relaxer. Le vol devait durer un peu plus de trois heures. L’unique hôtesse de l’air à bord se présenta prestement (et un peu sèchement), avant de nous offrir des sachets de bretzels et des boissons en canettes. Après avoir servi tous les passagers, elle s’assit sans chichis sur un fauteuil derrière nous et y demeura jusqu’à la fin du vol. American Airlines nous a fait regretter le faste coloré d’Easyjet et son personnel glamour, en tout cas en comparaison avec AA, l’européen aux ailes oranges faisait figure de compagnie ultra-luxueuse. Une brochure trouvée dans la poche du siège devant nous faisait l’éloge de la connexion wifi proposée à bord, mais nous n’avons jamais réussi à nous y connecter, j’ai donc choisi de passer le temps en faisant une petite sieste. Zouzou quant à elle s’est mise au défi de remplir la grille de sudoku du magazine d’American Airlines. Elle a dû s’y reprendre à dix fois et utiliser quasi autant de couleurs avant de solutionner le bazar qu’elle m’a présenté le visage rayonnant de fierté lorsque j’ai fini par émerger. Nous avons occupé le reste du voyage en regardant des épisodes de Friends enregistrés par Zouzou sur son application Netflix. Peu avant l’atterrissage, nous avons couiné d’excitation comme des petits rongeurs en apercevant à travers le hublot les collines de LA, ainsi que le signe Hollywood.
L’appareil s’est enfin posé. Nous avons traversé le couloir de l’avion et salué de la main le personnel navigant, puis nous avons passé la porte totalement éblouies, avant de respirer pour la première fois L’AIR BRÛLANT DE LA CALIFORNIIIE ! Nous avions du mal à réaliser que nous étions vraiment à Los Angeles, d’autant que LAX est loin d’être l’aéroport le plus sexy que nous ayons visité, mais la chaleur éprouvée lors du transfert entre deux terminaux finit de nous convaincre que nous n’étions définitivement plus au Canada, et encore moins en Île-de-France. Arrivées au terminal des vols internationaux, nous avons suivi la signalétique jusqu’au carrousel à bagages. En effet, notre contrôle plus que minutieux à la sécurité côté Canada nous permit d’éviter une fouille de chignon supplémentaire sur le sol californien. Coup de pot extraordinaire, la première valise à arriver à notre hauteur fut la mienne que je m’empressai de saisir. Nous venions de repérer celle de Zouzou qui arrivait dans notre direction, lorsque deux forcenés aux cheveux d’un roux douteux se jetèrent sur nous tels des diables jaillis de leurs boîtes. Nous étions au bord de la syncope quand nous avons reconnu nos deux assaillants.
« – ROMI ! FLAVI ! QU’EST-CE QUE VOUS FICHEZ ICI ?! Nous sommes nous exclamées presque de concert avec Zouzou.
– Vous avez déjà oublié ? Répondit Romi, avant d’ajouter :
On s’était dit rendez-vous dans dix jours. Même jour, même heure, aéroport de LA !
– Ah oui c’est vrai ! »
Nous avons échangé quelques sommaires mais passionnés câlins avant d’attraper les deux valises et de tracer vers la sortie de l’aéroport. Un ami de Romi, Clément, nous attendait en voiture devant LAX, et vu la circulation nous n’avions pas le temp de niaiser. Romi et Clément ont hissé nos bagages dans le coffre déjà presque plein des affaires de nos petits copains, et nous sommes partis en direction d’une destination mystérieuse. Nous avons profité du trajet pour admirer l’immensité du réseau routier de LA, ainsi que les quantités de palmiers et d’enseignes inconnues chez nous. Romi et Flavi nous ont fait le récit de leurs deux premières journées à Los Angeles, passées à explorer la ville et boire des mimosas en compagnie de Clément. Après environ 45 minutes de route, un panneau affichant « DISNEYLAND DR. » nous indiqua que nous avions atteint notre destination, NOUS ÉTIONS À DISNEYLAND ! Enfin presque, le temps de se garer quoi. Clément trouva une place sur le parking de l’hôtel Paradise Pier, où nous avions réservé une chambre pour les quatre prochaines nuits. Nous avions prévu de boire un verre au bar de l’hôtel avec Clément (dont c’était l’anniversaire !), avant de fouler pour la première fois le sol de l’endroit le plus heureux sur Terre (sauf pour Romi qui connaissait déjà les bails, vu qu’il peut se vanter d’avoir vécu une année entière à LA).
Nous avions choisi de séjourner au Paradise Pier d’abord pour sa thématique joyeuse et ludique d’hôtel de bord de mer, et aussi clairement pour son prix compétitif comparé au Disneyland Hotel et au (sublime) Grand Californian. Nous avions hâte de découvrir son lobby qui s’avéra être adorable et fort accueillant, bien que minuscule. Après un rapide tour d’horizon nous avons procédé à notre check-in, puis nous avons laissé Clément au bar « Surfside Lounge » le temps de monter nos bagages dans notre nouveau chez-nous (et de nous extasier comme des hystériques devant sa décoration adorable). Nous savourions tous les quatre le bonheur d’être ensemble à Disneyland, d’avoir réalisé ce projet un peu fou, lancé comme une blague dans une chambre de l’hôtel New York 9 mois plus tôt.
Nous avons interrompu nos sautillements et couinements de rongeurs bienheureux pour retrouver Clément qui était confortablement installé dans un canapé du Surfside. Nous avions de nombreuses raisons de faire la fête en ce chaud début de soirée, aussi nous avons tous choisi un cocktail sur la carte avant de reprendre le fil de la conversation. Pas de chance pour Flavi, Shar notre serveuse a confondu ses genoux avec la table, et l’intégralité de son cocktail s’est répendu entre sa jupe et son fauteuil. Pour faire bonne mesure, Shar a prestement apporté à Flav un autre cocktail, ainsi qu’une part de gâteau à partager car nous lui avions confié plus tôt que Clément fêtait son anniversaire.
Peu de temps après, nous avons été rejoints par Patrick, un des plus anciens penpals de Flavi, ainsi que son époux Jaymes. Nous connaissions Patrick en ligne depuis plusieurs années aussi nous étions réellement impatientes de le rencontrer. Il était en revanche temps pour Clément de prendre congé, mais nous devions le retrouver quatre jours plus tard, à la fin de notre séjour à Disneyland. En attendant nous l’avons chaudement remercié pour nous avoir trimballés jusqu’à Anaheim avec tout notre bazar, et avons agité nos mouchoirs depuis le lobby en criant « À vendredi ! ».
Nous étions désormais seuls avec Patrick et Jaymes et nous nous n’avions qu’une idée en tête… ALLER ENFIN A DISNEYLAND OMG !! C’est ainsi escortés de nos nouveaux amis californiens que nous avons fait nos premiers pas dans Downtown Disney, en route pour l’entrée du parc Disneyland. La nuit était alors tombée sur le « Disney Village » d’Anaheim, nous avons traversé cette longue et colorée avenue en embrassant du regard toutes ces boutiques incroyables dans lesquelles nous irions flâner plus tard (et dépenser une tonne de cash, on va pas se mentir). Les décorations d’Halloween avaient déjà commencé à pointer le bout de leur nez, même si la saison à proprement parler ne devait être inaugurée que quatre jours plus tard. Arrivés au bout de Downtown Disney nous avons débouché sur la place où les entrées de Disneyland et Disney California Adventure se font face. Nous avions techniquement le choix de commencer par l’un ou l’autre pour cette hautement symbolique première séquence d’entrée, mais il va sans dire que nous ne pouvions opter que pour le parc original. LE parc Disneyland, ouvert en juillet 1955, le seul parc Disney visité par Walt lui-même, bref, celui par quoi tout a commencé.
Il m’est impossible de décrire l’émotion qui nous a étreintes en pénétrant ENFIN dans le tout premier Magic Kingdom. Visiter Disneyland lorsqu’on connait aussi bien Disneyland Paris, c’est comme se trouver en lieu extrêmement familier et totalement inconnu à la fois. Nous avons fait nos premiers pas dans Main Street USA en expérimentant ce sentiment unique, nous laissant surprendre à chaque mètre soit par un élément familier, soit une boutique inconnue. Une des différences les plus déroutantes pour nous franciliens est l’absence d’arcades autour de Main Street, nous allions nous y faire prendre plusieurs fois pendant le séjour. Si la tentation était grande de partir explorer les différents lands du parc, il fallait contenir un peu notre excitation et patienter quelques minutes sur Main Street avant de voir se produire l’un des événements que nous attendions le plus pendant ce séjour. Nous avions pratiquement pleuré de joie en apprenant quelques mois plus tôt que Disneyland avait reprogrammé pendant notre séjour l’un de ses shows emblématiques. Une parade qui ne laisse personne indifférent, qui m’avait fascinée enfant et que je n’avais plus vue depuis près de vingt ans.
« Ladies and gentlemen, boys and girls,
Disneyland proudly presents our spectacular festival pageant of nightime magic
and imagination in thousands of sparkling lights
and electro-synthe-magnetic musical sounds.
The Main Street Electrical Parade ! »
En d’autres termes : LA PARADE ÉLECTRIQUE. Le parc n’étant pas trop bondé en ce lundi soir, nous avons pu trouver un spot assez confortable pour nous six et la courte attente a commencé. Quelques instants plus tard, lorsque les premières notes de la cultissime musique ont retenti dans les hauts parleurs, certains d’entre nous dont je tairai l’identité se sont laissés aller à verser une petite larmichette de bonheur. Car oui, la « MSEP » c’est tout simplement du bonheur à l’état pur. S’est ensuivie une procession de chars tous plus beaux les uns que les autres, accompagnés de danseurs et personnages Disney aux costumes scintillants de milliers d’ampoules, le tout rythmé par l’inimitable bande son psychédélique à souhait. Nous étions juste en transe.
Une fois la parade terminée, nous étions prêts pour notre second show nocturne de la soirée, et pas n’importe lequel puisqu’il s’agissait de la dernière performance de Disneyland Forever. Un mélange de mapping sur les murs de Main Street USA, d’animations surprise sur les toits, et d’un feu d’artifice. Nous avons adoré ce principe de show très sympa dont on peut profiter de n’importe quel emplacement sur Main Street, d’autant que le choix des scènes et chansons nous a entraînés en musique jusqu’au bouquet final.
Bon, maintenant que nous avions bien profité des spectacles, il était temps de passer à l’action ! Nous ne pouvions pas attendre une seconde de plus avant de commencer notre exploration du parc, que nous avons inaugurée dans le sens des aiguilles d’une montre puisque notre première destination fut Adventureland. Si vous superposez les maps de Disneyland et Disneyland Paris, vous verrez que les deux sont assez proches dans l’implantation de leurs lands, si ce n’est que Disneyland peut se vanter d’en posséder quelques uns inconnus du resort parisien. Les voici :
- New Orleans Square, situé entre Adventureland et Frontierland, il imite un quartier de la célèbre ville de Louisiane, et abrite notamment les emblématiques Pirates of the Caribbean et Haunted Mansion.
- Critter Country qui se trouve derrière New Orleans Square, et est particulièrement connu pour son attraction Splash Mountain. Le land et le ride ont en commun leur thématique inspirée du film Songs of the South (La Mélodie du Sud en français) – il faut toutefois noter que Critter Country était à l’origine une section de Frontierland nommée Indian Village.
- Le tout fraîchement inauguré et colossal land dédié à l’univers Star Wars dont je parlerai en détail dans un prochain billet : Galaxy’s Edge.
- Et enfin Mickey’s Toontown, le land le plus cartoonesque et mignon qu’on ait vu !
Nous avons comme je le disais commencé notre visite par Adventureland, où la fréquentation était délicieusement faible lorsque Patty Pat (ça y est je vais commencer à être familière) et Jaymes nous ont désigné l’attraction Indiana Jones d’un hochement de tête suggestif. Si on voulait tester ce ride ? FOR SURE avons-nous crié presque en cœur. Il faut savoir qu’ « Indiana Jones Adventure » à Disneyland n’a pour le coup RIEN À VOIR avec notre « Indiana Jones et le Temple du Péril ». Nous avons pénétré dans la queue line en nous frottant les mains d’excitation, surtout Flavou qui avait eu l’occasion de tester la version japonaise de ce ride quelques mois plus tôt. Zouzou et moi en revanche n’avions pas la moindre idée d’à quelle sauce nous allions être mangées. Zouzou s’est soudain agrippée au bras de Romitas en sanglotant : « Est-ce que ça fait peur ? Ça fait quoi comme sensation ? EST-CE QUE ÇA FAIT PEUUUR ?? » Le pauvre Romi, de par son expérience californienne de 2015, allait devenir notre baromètre sensations pour tous les nouveaux rides que nous devions tester, quant à Zouzou elle n’était pas au bout de ses peines à ce niveau. Nous avons réussi à la faire monter dans la jeep d’Indy, et tous les six nous avons pris la route (fort caillouteuse) pour une aventure incroyable et hilarante. Spoiler alert : Indiana Jones allait devenir un de nos rides favoris de tout le séjour. Autre spoiler alert : tous les rides inconnus à Paris que nous avons pu tester à Disneyland (à l’exception d’un, mais je ne veux pas tout spoiler en un post) nous ont vus nous bidonner à gorges déployées. En plus d’être vraiment drôle et de bien secouer, Indiana Jones est un dark ride d’une beauté impressionnante, comme beaucoup d’attractions à Disneyland. Après ce grand moment de découverte, il était temps pour Patty et Jaymes de nous quitter, du moins pour ce soir. Nous leur avons fait de gros hugs collants à cause de la chaleur et avons continué notre exploration à Frontierland avec un petit Big Thunder Mountain des familles. L’heure de fermeture du parc approchait, nous avons profité du temps d’attente faible pour découvrir le cousin californien de notre attraction parisienne favorite. Cette version secoue moins que la nôtre mais nous avons quand même adoré, un détail dans le décor nous a particulièrement charmés à la fin du ride. Je ne veux pas divulgâcher les surprises des attractions aux futurs first timers, je ne suis moi-même pas adepte des vidéos on-ride et surtout pas avant de découvrir un parc pour la première fois, mais si vous êtes curieux alors Youtube sera votre ami.
Le parc Disneyland allait bientôt fermer, il nous restait pile le temps de faire une dernière attraction. En zieutant les temps d’attente sur la (superbe) application de Disneyland Resort, une attraction attira particulièrement notre attention. Millenium Falcon: Smugglers Run, le ride de Galaxy’s Edge, n’affichait que 15 minutes. N’oublions pas que quelques semaines plutôt seulement, Galaxy’s Edge n’était visitable que sur réservation, 15 minutes c’était donc franchement la teuf. Ce land était bien sûr une des perspectives les plus excitantes de notre voyage, nous étions presque dans nos petit souliers en passant sous l’arche qui relie Frontierland et la planète Batuu. Comment décrire la beauté de ce land – en particulier de nuit – sur un modeste blog ? Les décors de Galaxy’s Edge sont tout simplement magnifiques, à vous donner la chair de poule. Mais ce land n’est pas seulement vaste et doté d’une quantité bluffante de détails. Il est le premier dans un parc Disney à avoir été conçu pour une expérience 100% immersive, au point d’en oublier que l’on se trouve dans un parc Disney. Les CM ne sont pas seulement là pour vous vendre du merchandising ou vous servir votre repas, ce sont des habitants de Batuu qui vaquent tout simplement à leurs activités galactiques (essayez de leur parler de la France et de billets d’avion, vous allez voir les yeux de merlans frits qu’ils vous jetteront). La signalétique, la décoration des boutiques, le merchandising, tout ce qui compose Galaxy’s Edge vous projette dans une galaxie lointaine, très lointaine, à l’image du Faucon Millenium garé pépouze entre la célèbre Cantina et le magasin d’antiquités de Dok-Ondar. En bref, ce land est une vision de paradis pour tout fan de Star Wars, ce qui est notre cas. Nous sommes entrés dans la file d’attente et le pré-show de Millenium Falcon: Smugglers Run a commencé. L’attraction nous entraîne dans une mission de contrebande à bord du célèbre Faucon, commanditée par le pirate Hondo Ohnaka. Le cockpit du vaisseau dispose de six sièges réservés à deux pilotes, deux tireurs, et deux ingénieurs. En arrivant au load de l’attraction, un CM nous a remis des cartes qui devaient attribuer un rôle à chacun. Pour cette première mission, Romi et moi avons assuré les commandes du Falcon en tant que pilotes, tandis que Zouzou et Flav étaient chargées de tirer sur tout ce qui bouge. Pas d’ingénieurs pour nous pour cette première mission, ce qui explique sans doute le bilan lamentable de notre course, mais nous avons juste adoré ce ride incroyable et interactif, ou chacun a son rôle à jouer dans le bon déroulement de la mission (c’est moins intense pour les ingénieurs c’est sûr. Si vous pouvez être pilote ne vous gênez pas c’est quand même le meilleur poste, et de loin).
Il était temps de quitter le parc Disneyland après une première soirée plus que magique. Nous en avions pris plein les yeux, mais étions également affamés, épuisés, et accessoirement en plein jet-lag pour Flav et Romi. Nous avons traversé Downtown Disney dont les boutiques étaient étonnement toutes fermées – contrairement à notre Disney Village qui reste ouvert tard après la fermeture des parcs – de même que la plupart des restaurants. C’est une fois de plus à Starbucks que nous avons dû notre salut, par le truchement d’un assortiment de sandwiches chauds et snacks divers qui nous ont parfaitement sustentés avant d’aller dormir. Une fois repus nous avons traîné nos carcasses sans vie jusqu’à l’hôtel et après avoir débrieffé passionnément (mais pas trop longtemps) cette première tranche de nos vacances à quatre, nous nous sommes effondrés dans nos lits.
La suite au prochain épisode, vous commencez à avoir l’habitude non ?
J’ai ressenti tellement d’émotions à la lecture de cet article. Entre la plume et les photographies, je ne peux qu’imaginer l’état d’excitation dans lequel vous deviez vous trouver ce jour. Je rêve de visiter ce parc, même si j’ai accompli l’immense rêve de faire des milliers de pas il y a quelques mois à Walt Disney World. Ce parc reste mythique. J’ai hâte de vous lire, encore une fois !
Vos photographies sont superbes, de nuit, c’est remarquable ! Vraiment !
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C’est pourtant pas si évident de retranscrire ce genre d’émotions à l’écrit :-D, surtout si on veut éviter d’être trop cucul la praloche, alors tant mieux tu me fais plaisir 😀
WDW est sur notre liste, comme tous les autres d’ailleurs :-p !
Les photos de nuit sont de Zouzou, merciii 🙂 ❤ !!!
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Un grand bravo à elle ! Et pour Walt Disney World, je ne peux que conseiller à mille %.
Pas de cucul la praline ici, tout est retranscrit avec sincérité, ça se ressent pleinement.
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J’avoue que les photos de la Parade Électrique sont purement magiques, le carrosse de Cendrillon fait vraiment rêver! ✨💫 Merveilleuses photos d’un séjour enchanté, j’attends la suite!😉
🥰
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Merci de mettre la main à la pâte en me relisant à chaque fois 😊😘😍
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Et bravo Zouzou pour tes photos !✨👍🏼🌟🌟🌟🌟🌟🌟🌟
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